Le Sommet de l’industrie de la joaillerie, une tribune sur le thème du développement durable et de l’approvisionnement responsable, a fermé ses portes sur un engagement, celui de poursuivre certains projets, dont l’harmonisation de diverses normes et la formation des travailleurs de l’industrie.[:]
Des sociétés de toutes tailles, présentes à tous les niveaux de la filière joaillière, ont assisté au sommet inaugural à New York, du 11 au 13 mars. Étaient également présents des représentants du Département d’État américain et d’autres organisations, comme des banques et des cabinets comptables.
Parmi les nouvelles initiatives, figure un comité de normes et d’harmonisation dont l’objectif est d’aligner et de coordonner les normes existantes. L’idée serait que les sociétés y aient accès afin que les entreprises individuelles n’aient pas à refaire le travail accompli par d’autres dans l’industrie, indiquait un communiqué daté du 17 mars.
Des comités seront également organisés pour aborder la formation des vendeurs de bijoux en matière d’approvisionnement responsable, étudier les attitudes des consommateurs face à l’approvisionnement et au développement durable des bijoux et utiliser de nouveaux médias pour communiquer sur les avancées du secteur.
Parmi les engagements spécifiques, citons une aide aux tailleurs des pays en développement qui ont besoin de formation et de matériel pour éviter la silicose, maladie provoquée par l’inhalation de poussières de pierre. Une autre initiative concerne un projet de site d’extraction minière artisanale de diamants de couleur au Brésil, qui respecte des pratiques responsables en matière sociale, éthique et environnementale, indiquait le communiqué.
