Sous la lumière magique de la Toscane, au cœur du cloître de la basilique Santa Maria Novella – joyau gothique et emblème incontournable de la Renaissance florentine –, Victoire de Castellane a dévoilé le chapitre inaugural de sa nouvelle collection de haute joaillerie intitulé Diorama.
Un luxuriant jardin de roses parfumé d’orangers accueillait la présentation de ces joyaux célébrant la beauté plurielle de la nature chère à Monsieur Dior. Pour la première fois, la Directrice Artistique de Dior Joaillerie revisite la toile de Jouy, code iconique de la Maison depuis 1947.
Christian Dior en raffolait, allant jusqu’à tapisser les murs de sa boutique avenue Montaigne de cette toile fournie de mille détails qui ont constitué une source de création très riche pour Victoire de Castellane.
La toile de Jouy foisonne de paysages bucoliques et de scènes de vie à la campagne. Victoire l’a réimaginée en la sublimant d’une flore et d’une faune féeriques à travers les 172 pièces de sa collection. Chouettes, biches, écureuils – se cachant parfois derrière les buissons – habitent ainsi une fabuleuse forêt où l’art figuratif de la haute joaillerie Dior se déploie à travers des détails infinis et des tableaux merveilleusement vivants, esquissés par des pierres précieuses aux couleurs éclatantes.
Un florilège onirique magnifié plus encore par les silhouettes Dior de Maria Grazia Chiuri, dont les tenues ont été dessinées pour le défilé de haute joaillerie : pantalons Capri néo-sixties, irrésistibles bustiers Bar, somptueux jacquards tissés, failles moirées, jupes aux nuances chatoyantes… fascinant dialogue traduisant ce voyage imaginaire de Paris à Florence, symbiose virtuose des arts, du rêve et de l’excellence des savoir-faire Dior.
L’éblouissant défilé, flot de lumière et de couleurs, s’est déroulé dans le cloître de la basilique Santa Maria Novella, chef-d’œuvre de l’architecture florentine.